Contournement toulousain […] Le tracé serait donc relativement éloigné de Toulouse et à qui pourrait-on faire croire qu'une telle voie située à 20-25 kilomètres ou même plus de notre ville, soulagerait le périphérique existant ? De plus, et malgré l'obstination du maire à vouloir stigmatiser la circulation de transit, la même étude émanant de la DRE lui donne tort. Actuellement, sur le périphérique, le trafic local représente 71%, celui d'échange 26% et le transit seulement 3%. D'après les mêmes études, ce trafic de transit devrait connaître, à l'horizon 2020, une hausse de 15%. Sa proportion restera donc marginale par rapport au flux de déplacements locaux et d'échange, ce qui veut dire clairement que, grand contournement ou pas, le périphérique sera saturé en 2020. [...] (mars 2007, n° 164, "Capitole infos", p. 18, _______________________ |
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