Ports 2002
de Bègles au Verdon

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"port 2000-01"

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"port 2003-2004"

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17/01/02, Bernard Broustet, SO:
Arès trois bons millénaires consécutifs, le Port de Bordeaux à rechuté en 2001. Selon les chiffres provisoires publiés hier, le trafic aurait en effet reculé de 3,5%, repassant du même coup en deçà de la barré de 9 millions de tonnes (8,96 millions).
Bordeaux n’est pas le seul port français à avoir réalisé une contre-performance. Ainsi a-t-on enregistré l’an dernier une récession encore beaucoup plus sensible à la Rochelle (-8,8%). Et le mauvais climat économique de la fin de l’année, qui a induit un ralentissement de certains échanges, a sa part dans de résultat.
Mais au-delà de ces circonstances conjoncturelles, le mauvais score de Bordeaux n’en est pas moins préoccupant.
Après de longues années de déclin, la dynamique de croissance enregistrée en 1998 semble s’être interrompue l’an dernier.
[…]

21/02/02, Bernard Broustet, SO:
Yves Gauthier
, directeur général du Port autonome, l’a annoncé hier matin: il n’a pas renouvelé la concession du groupe "les Abeilles", qui assure le remorquage dans l’estuaire de la Gironde, et dont la filiale locale a déposé son bilan au mois d’octobre dernier. L’élimination des "Abeilles", qui assurent le remorquage dans la grande majorité des ports français, risque de causer de sérieuses perturbations en Gironde et ailleurs […]
[…] La commission du remorquage, réunie en début de semaine dernière, s’était prononcée à l’unanimité pour la candidature de la "société Thomas", en charge depuis des décennies le cette activité à Rouen, qui est un des seuls ports français à échapper au quasi-monopole des "Abeilles".
[…] L’agrément accordé à la société rouennaise est cependant provisoire […].
[…]
[…] Dans ces conditions, le risque d’une liquidation rapide des "Abeilles-Bordeaux" n’est pas à écarter. Mais apparemment, leur maison-mère n’a pas tout à fait jeté l’éponge.
[…]
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23/03/02, Régine Jordan, SO:
Trois remorqueurs alignés contre le quai de Bacalan, sur le territoire du Port autonome de Bordeaux, et un quatrième en route, en provenance du sud de l’Angleterre. Hier matin, Claude Thomas, PDG de la société de remorquage qui porte son nom, a reçu le permis de navigation délivré par le centre de sécurité des Affaires maritimes pour assurer le remorquage des gros navires dans les eaux de l’estuaire.
[…]

24/03/02, voir Animations-ter 8 .

28/03/02, SO:
Le Tribunal de commerce de Bordeaux a décidé, hier, comme prévu, la mise en liquidation de la filiale locale des Abeilles qui avait été placée fin 2001 en redressement judiciaire.
Les Abeilles ont perdu le mois dernier l’agrément du remorquage dans l’estuaire que le Port de Bordeaux a attribué à la société normande Thomas, à pied d’oeuvre depuis la semaine dernière. […]
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09/04/02, Jacques Mahuas, SO:
Racheté par la Fondation Nicolas Hulot, "Fleur-de-Lampaul" aura son port d'attache à Bordeaux. […]
Après s'être intéressé à l'aventure des jeunes dont les "témoignages prennent figure de symbole", écrit-il dans la préface d'un de leurs livres, le médiatique animateur a acquis Fleur-de-Lampaul dans le cadre du programme SOS Planète eau de sa fondation soutenue par TF 1, EDF et L'Oréal. Entre ses missions de sensibilisation aux problèmes de l'eau, "Fleur-de-Lampaul" s'amarrera au ponton Yves Parlier, sur la rive droite du port de la lune. Le vieux gréement, classé monument historique, devrait arriver pour la Fête du vin, en juin, après avoir fait escale à Rochefort.

14/05/02, SO:
Le Port de Bordeaux n'a pas très bien commencé 2002 puisque, sur les quatre premiers mois de l'année, son trafic est en baisse le près de 12%, ce qui représente environ 350000 tonnes de moins. Cette chute s'explique partiellement par le long conflit du remorquage qui a sérieusement affecté l'activité portuaire entre la fin février et le début avril. Mais, bien que la situation soit redevenue normale sur ce plan, avril n'a pas été très faste, affichant un retrait de 8% par rapport à 2001.

14/06/02, SO:
Affligeant et pour tout dire repoussant, le spectacle de la rive droite du fleuve, à hauteur du Mégarama… Entre les pontons du lieu (Yves-Parlier, base nautique des pompiers) et les ouvrages qui les confortent, les bois flottés, petits ou gros et les débris de tous ordres amenés par le fort courant viennent s'accumuler.
On comprend que la toilette des lieux ne soit pas régie par les mêmes exigences que celles qu'on a pour un pas-de-porte. Mais enfin, les services du Port autonome pourraient profiter des forts coefficients de marée — comme c'est le cas actuellement — pour venir faire travailler les engins adéquats, afin que la berge présente un autre aspect que celui-là aux visiteurs du quai et à ceux qui franchissent les pontons pour embarquer.

19/06/02, Bernard Broustet, SO:
[…]
Une fois chargés sur ces barges, les tronçons d'Airbus gagneront Langon, à une centaine de kilomètres en amont. Ce trajet fluvial n'ira pas sans poser de problème.
Les embarcations devront passer sous plusieurs ponts, dont le vieux pont de pierre de Bordeaux. Selon le Port autonome et les pouvoirs publics, ce franchissement ne soulève pas de risque majeur. L'opération devra cependant se réaliser lorsque la marée sera étale, et ne pourra avoir lieu si le débit du fleuve dépasse 2000 mètres cubes par seconde, ce qui se produit en moyenne une dizaine de jours par an.
Pour plus de précaution, les quatre piles centrales du pont seront dotées d'un dispositif de protection, défini en accord avec l'architecte des Bâtiments de France, et dont le coût — environ 5 millions d'euros — sera pris en charge par l'Etat.
Le port de Bordeaux, qui assurera la maîtrise d'ouvrage de cette opération, s'est également vu confier la maîtrise d'oeuvre des aménagements réalisés au départ et au terminal de ce parcours fluvial.
S'il construit à ses frais l'appontement public de Pauillac, le reste des aménagements sera, pour l'essentiel, financé par l'avionneur, qui investira quelque 18 à 20 millions d'euros.
[…]

[Voir 16/01/01 8 & 29/07/02 8 ]

25/07/02, SO:
Le Port autonome de Bordeaux a enregistré l'an dernier un déficit de 600000 euros, comparable à celui de l'année 2000. Au cours de ce même exercice, le chiffre d'affaires (40 millions d'euros) a connu une rétraction qui s'explique notamment par la baisse du trafic. Celui-ci s'est élevé à 8,96 millions de tonnes contre 9,28 millions en 2000. Le Port, qui est peu endetté, a cependant continué ses investissements. Ceux-ci, qui ont été fortement soutenus par l'Etat, l'Europe et les collectivités locales, ont approché l'an dernier 11 millions d'euros.

12/07/02, SO:
Le port de Bordeaux, dont le trafic avait reculé l'an dernier, n'a pas fait d'étincelles au premier semestre. Le volume des marchandises transportées a ainsi chuté de 4,6% par rapport à 2001. […] Quant au poste "autres marchandises", essentiellement constitué par les conteneurs, il accuse au premier semestre une baisse considérable (moins 31,9%), liée en partie à l'arrêt de la ligne de cabotage EFL, qui transportait, entre autres les boîtes de vitesse de Ford entre Le Verdon et Le Havre. […]

15/08/02, Patrick Guilloton, SO:
[…] le Conseil régional aquitain vient d'allouer 111000 euros à l'université de Pau et des pays de l'Adour afin de financer un programme d'études et de recherches en amont liées à un projet de dirigeable gros porteur.
[…]
Pour l'heure, l'aventure du dirigeable en Aquitaine comporte encore nombre de zones d'ombre. Ce que l'on sait c'est que quatre grands projets sont à l'étude au niveau mondial, dont deux sur nos terres. Le premier est baptisé "First". II est porté par un groupe d'ingénieurs aéronautiques, géologues, pétroliers.
Leur ballon, immense suppositoire de 200 mètres de long sur autant de haut, utilise des technologies de pointe en matière de compression de l'azote. Le second projet a pour nom "Avea". Au lieu d'être d'un seul tenant comme le précédent, il s'agit d'un ballon modulaire.
Et tandis que les concepteurs réfléchissent avec des industriels et des financiers, l'Aquitaine, forte de sa sous-traitance aéronautique, rêve d'ajouter à sa panoplie la carte aérostatique. Et de fédérer tous ceux qui sont passionnés par ces projets à commencer par le laboratoire de mathématiques appliquées et le laboratoire de thermique-énergie et procédés de l'université de Pau.
[…]
8
[Voir SO, 28/11/03, p. 1-11 (soucis de la société du dirigeable); & ci-dessous 18/11/02

18/11/02, SO, p. 2-3:
[…]
En revanche cet itinéraire restera permanent bien au-delà de la construction de cet avion dont la durée de vie est tout de même estimée à plus de vingt ans.
Le problème du transport d'objets très encombrants entre Toulouse et Bordeaux sera donc définitivement résolu. Ce n'est pas rien car la question se pose de temps en temps. Les installations industrielles nécessitent souvent le transit de pièces énormes (cuves, turbines, etc.) et il faut à chaque fois improviser un itinéraire exceptionnel dans des conditions coûteuses et rarement satisfaisantes. Cela ne créera pas un grand trafic supplémentaire, peut-être même pas un convoi de plus par an, mais simplifiera la tâche de ceux qui doivent les organiser.
[Voir début dossier dirigeable: 16/01/01
8 ]

17/08/02, D.G., SO:
Le port d’Ambès, aménagé sur la Dordogne, à deux brasses de l’estuaire, est devenu une terre de rencontre pour les gens de la mer.
[…]
"L’accueil, les services et la qualité du ponton d’accostage font d’Ambès une escale réputée et appréciée par les gens de la mer", confiait le capitaine d’un autre vieux gréement.

26/08/02, SO:
[…]
[…] un certain frémissement court le long des rives du Port de la lune. Les bords de Garonne pourraient développer une activité aujourd'hui cantonnée dans les navettes entre les rives par le bus d'eau, les sorties des navires à passagers et le passage de quelque 120 plaisanciers par an.
Pourtant semble abandonnée l'idée du paysagiste Corajoud qui voulait installer devant la place de la Bourse un ponton "ludique" avec de petits voiliers. Les paquebots de croisière auraient jeté l'ancre en des lieux moins prestigieux, plus à l'écart des boutiques de luxe du triangle. Les édiles semblent aujourd'hui admettre que le prestige et les finances de la ville de Bordeaux y perdraient. En outre, il y aurait la difficulté technique de l'évitage (demi-tour) des grands mastodontes de la mer (1). Les plaisanciers ne seront pas abandonnés à leur sort pour autant. Déjà. un ponton d'attente pour une demi-douzaine de bateaux a été installé à l'entrée des bassins à flot qui abritent aujourd'hui quelque 200 petites unités et qui doivent être améliorés.
Un autre ponton est prévu, fin novembre, presque en face, quai des Queyries, près de la cale qui a été rénovée l'an dernier, puis améliorée. Ce ponton pourra aussi accueillir les pécheurs et les scouts marins. Ces derniers ont aujourd'hui leur base près du ponton Yves-Parlier, devant le Mégarama.
Ce ponton Yves-Pailier doit être allongé pour accueillir le "Fleur de Lampaul" construit en 1948 à Camaret, appartenant à la Fondation SOS Planète eau, lancée par Nicolas Hulot, et qui fera de Bordeaux son port d'attache.
[…]

[(1) Ce Corajoud, tout de même, il a de drôles d'idées ! Mais que les édiles raisonnent bien, subitement ! Heureusement, les vacances sont là pour caser ces annonces. 8 , 8 ]

15/06/02, SO:
Affligeant et pour tout dire repoussant, le spectacle de la rive droite du fleuve, à hauteur du Mégarama… Entre les pontons du lieu (Yves-Parlier, base nautique des pompiers) et les ouvrages qui les confortent, les bois flottés, petits ou gros, et les débris de tous ordres amenés par le fort courant viennent s'accumuler.
On comprend que la toilette des lieux ne soit pas régie par les mêmes exigences que celles qu'on a pour un pas-de-porte. Mais enfin, les services du Port autonome pourraient profiter des forts coefficients de marée — comme c'est le cas actuellement — pour venir faire travailler les engins adéquats, afin que la berge présente un autre aspect que celui-là aux visiteurs du quai et à ceux qui franchissent les pontons pour embarquer.

02/09/02, Michel Monteil, SO:
Les dockers du port de Bordeaux ont bloqué les accès aux quais de Bassens une partie de la matinée d'hier. Réunis en assemblée générale, ils ont décidé de poursuivre un mouvement de protestation entamé le 20 septembre dernier. […]
Le conflit trouve sa source dans l'embauche, le 1er juillet de vingt-trois nouveaux dockers. Des jeunes qui, après un stage de formation longue, ont été recrutés en contrat à durée indéterminée. […]
[…] La raison? En passant d'un contrat emploi formation à un CDI, les nouvelles recrues ont vu leur prime de conduite des engins de manutention passer de 21,84€ à 10,92€ par jour. "On n'a pas supprimé une prime, mais il y a eu un changement de leur statut", explique Vincent Amouroux, directeur de la Fédération maritime et du Syndicat des entrepreneurs de manutention. "L'accord salarial était explicite et il se traduit tout de même par une rémunération améliorée." […]
[…]
La Fédération maritime dénonce la "position inacceptable" des dockers. Depuis le début du mouvement plusieurs escales de navires ont été perturbées. "C'est très négatif pour le port dont l'activité n'est déjà pas bonne, et cela met à mal l'équilibre économique des entreprises de manutention", commente Vincent Amouroux. Aucune date n'a été fixée pour la reprise des négociations. [Voir 03/10/02, ci-dessous]

03/10/02, Michel Monteil, SO:
Une grève perlée qui tombe à un mauvais moment. C'est en substance l'avis des dirigeants du Port autonome de Bordeaux (PAB), alors que les dockers ont accentué lundi leur mouvement de "travail au ralenti" (notre édition d'hier). "Nous déplorons que ce mouvement continue. Il en va de la survie du PAB. Si on veut casser l'outil, c'est le meilleur moyen d'y arriver", a déclaré hier Michel Sammarcelli, président du Port.
Et d'exhiber en exemple la feuille de paye d'un agent municipal, inférieure de près d'un millier d'euros à celle d'un jeune docker. "Le coût de la manutention demeure prohibitif", enchaîne Yves Gauthier, directeur d'un port régulièrement accusé d'être trop onéreux. Même si Michel Sammarcelli reconnaît que les armateurs recherchent certes des prix compétitifs, mais aussi de la fiabilité.
Or cette dernière est mise à mal par le conflit actuel. La semaine dernière, un navire de la compagnie MSC a dû partir alors que tous les conteneurs n'avaient pas été chargés. "Cette semaine, MSC nous annonce qu'elle n'enverra plus de bateau au Verdon jusqu'à nouvel ordre. Quant à la CGM, elle réserve sa décision", dit le président du PAB. Avec deux navires par semaine, MSC assure les deux tiers du trafic du terminal du Verdon.
[…]
Ce conflit survient alors que le PAB connaît un début d'année 2002 médiocre. […]

16/10/02, Thierry Magnol, SO:
[…] En 73, […] débutent les négociations pour que le Port autonome de Bordeaux (PAB) cède à la ville l'espace situé entre le pont de pierre et la place des Quinconces.
[…] On cherche de la place et on lorgne du côté du port. Le supprimer permettrait à la fois d'utiliser l'espace le long des quais pour ouvrir une voie sur berge et de construire un ou deux ponts en aval du pont de pierre. Déjà, à la fin des années 60, un projet assez insensé avait été avancé. Il consistait à construire un axe routier sans rien détruire puisque la voie passait au-dessus des hangars. […]
[…]
C'est donc sous la pression de la mairie que s'engagent les négociations de 1973. Le directeur le PAB, Pierre Debayles, n'est pas hostile à l'idée de céder l'espace situé entre le pont de pierre et la place de la Bourse. Mais il demande une indemnité équivalente au coût de reconstitution du potentiel portuaire. La note est de 235 millions de francs. Un accord de principe se réalise sur cette somme et sur les modalités de retrait dès 1974, mais le protocole définitif n'est signé qu'en 1979, et pour un montant de 145 millions.
[…] Me Jacques Boissieras, vice-président de la CUB, évoquant la construction d'un axe routier nord-sud, assure: "Ce sera la somme de deux pénétrantes qui conduiront à un grand parking de 4000 ou 5000 places sous les Quinconces. De là, les automobilistes seront à trois ou quatre minutes à pied du centre-ville…"
[…] Le dernier cargo à faire escale en ville sera le "Yopougon", battant pavillon ivoirien, le 9 avril 1987. Quant à l'axe nord-sud et au parking des Quinconces, ils ne verront jamais le jour.

09/11/02, Claude Garnier, SO:
[…]
Le nouveau pôle d'animation nautique (en face du hangar 14, côté Bastide, à hauteur du quai des Queyries) qu'inauguraient hier matin Alain Juppé et le préfet Christian Frémont, présente trois équipements: un appontement aménagé spécialement pour les scouts marins (mouvement des Guides de France), un ponton réservé aux pêcheurs professionnels et aux plaisanciers et une cale de mise à l'eau. L'ensemble du site est pompeusement baptisé Port-Bastide, pour signifier la cohérence d'une démarche prenant en compte les activités fluviales de la Garonne et son potentiel de plaisance, en liaison avec les projets d'aménagement des berges. "Quelque 900 bateaux circulent chaque année sur le fleuve, à Bordeaux", rappelle Philippe Dorthe, heureux possesseur d'un 12 mètres à l'appontement près du pont de pierre, et grand connaisseur des us et coutumes des navigateurs fluviaux.
L'appontement des scouts marins (36 mètres de long pour 3 mètres de large) accueille depuis quelques jours leur chalutier, le "Paliria", point de ralliement qui accueille toute l'année 200 filles et garçons à partir de 8 ans. Pour les plaisanciers et les pêcheurs, a été réalisé un ponton de 72 mètres. Pour la moitié, il sera utilisé par la plaisance locale et les plaisanciers de passage. Depuis la voie pavée, un cheminement paysager permet d'accéder à la passerelle qui mène à l'appontement réservé aux plaisanciers et aux pêcheurs professionnels bordelais qui travaillent avec six bateaux de pêche. Enfin, l'ancienne cale de mise à l'eau, située dans le prolongement de la rue du Maréchal-Niel, a été transformée. Large de 7 mètres, longue de 36 mètres, elle permet aux plaisanciers qui possèdent des bateaux sur remorque de faciliter leur mise à l'eau (en moyenne huit heures sur douze).
[…]

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